Un vieux banc, au bord de la mer,
Je m’assois pour regarder devant
Pour sentir, pour me taire,
Ecouter les secrets du vent.
C’est alors qu’elle s’est avancée,
Elle s’est assise à côté de moi,
D’un air sûr, elle s’est présentée,
Je suis ta part d’ombre souviens-toi.
Oh ce soir là, au bout du mystère,
Côté pile, côté face,
Ma part de paix et ma part en guerre,
Se sont regardées en face.
Trop longtemps en douleur
L’une contre l’autre elles ont régné,
Trop d’excès, trop de peur,
Et si ce soir elles s’accordaient ?
Ma part d’ombre était revenue
Est-ce qu’elle était là pour négocier ?
Moi longtemps j’avais cru
Qu’elle finirait par se lasser.
Cette part blessée dorénavant,
Je la prends dans mes bras en douceur.
Je n’entends plus le bruit du vent,
Maintenant j’entends battre mon coeur.
Oh ce soir là, au bout du mystère,
Côté pile, côté face,
Ma part de paix et ma part en guerre,
Se sont regardées en face.
Trop longtemps en douleur
L’une contre l’autre elles ont régné,
Trop d’excès, trop de pleurs,
Et si ce soir elles s’accordaient ?
Moi je suis le jour comme la nuit,
Je sens ce besoin d’équilibre,
La chaleur est la pluie,
Le silence est le bruit.
Entre ombre et lumière je me sens vivre.
Un vieux banc, au bord de la mer,
Je m’assois pour regarder devant
Pour sentir, pour me taire,
Ecouter les secrets du vent.
C’est alors qu’elle s’est avancée,
Pour s’assoir à côté juste là,
C’est moi qui lui ai parlé,
Je suis ta part de lumière suis-moi.
Je m’assois pour regarder devant
Pour sentir, pour me taire,
Ecouter les secrets du vent.
C’est alors qu’elle s’est avancée,
Elle s’est assise à côté de moi,
D’un air sûr, elle s’est présentée,
Je suis ta part d’ombre souviens-toi.
Oh ce soir là, au bout du mystère,
Côté pile, côté face,
Ma part de paix et ma part en guerre,
Se sont regardées en face.
Trop longtemps en douleur
L’une contre l’autre elles ont régné,
Trop d’excès, trop de peur,
Et si ce soir elles s’accordaient ?
Ma part d’ombre était revenue
Est-ce qu’elle était là pour négocier ?
Moi longtemps j’avais cru
Qu’elle finirait par se lasser.
Cette part blessée dorénavant,
Je la prends dans mes bras en douceur.
Je n’entends plus le bruit du vent,
Maintenant j’entends battre mon coeur.
Oh ce soir là, au bout du mystère,
Côté pile, côté face,
Ma part de paix et ma part en guerre,
Se sont regardées en face.
Trop longtemps en douleur
L’une contre l’autre elles ont régné,
Trop d’excès, trop de pleurs,
Et si ce soir elles s’accordaient ?
Moi je suis le jour comme la nuit,
Je sens ce besoin d’équilibre,
La chaleur est la pluie,
Le silence est le bruit.
Entre ombre et lumière je me sens vivre.
Un vieux banc, au bord de la mer,
Je m’assois pour regarder devant
Pour sentir, pour me taire,
Ecouter les secrets du vent.
C’est alors qu’elle s’est avancée,
Pour s’assoir à côté juste là,
C’est moi qui lui ai parlé,
Je suis ta part de lumière suis-moi.